Un banc sur scène apparaît comme l’espace des errances en solitaire, de la déchéance mais aussi de la rencontre. Autour de cette place assise se raconte une histoire de famille et la nécessité de se confronter à l’image d’un père SDF. Autour de ce banc, les personnages se construisent, se cherchent, dialoguent avec l’absence, grandissent.
Le duo souligne les allers-retours entre rejet et appropriation d’une histoire, la quête d’équilibre dans la recherche à travers l’autre. A ces paroles muettes et ces liens invisibles se substitue une danse tendrement virile.
Compagnie: